Démarrer en tant que prothésiste ongulaire nécessite de franchir les étapes une à une afin d’éviter les erreurs. Cet article vous guide pour lancer votre activité de styliste ongulaire, de l’envie d’exercer ce métier à l’enregistrement de votre entreprise.
Comment commencer en tant que prothésiste ongulaire ?
Prothésiste ongulaire est un métier, même si le diplôme en esthétique n’est pas obligatoire. L.e.a professionel.le des ongles doit néanmoins posséder certaines qualités, comme être doté.e d’un sens de l’accueil, d’une écoute active, avoir un sens artistique et créatif et se tenir informé.e des dernières tendances concernant le marché des ongles.
C’est pourquoi vous vous demandez qui peut devenir prothésiste ongulaire. Les soins de beauté des ongles des mains et des pieds sont des prestations qui requièrent un savoir-faire. Ils reposent sur des protocoles et une technicité particulière nécessitant un entraînement régulier. Mais avant de vous entraîner, il vous faut impérativement passer par la case formation. Et pas n’importe laquelle. La formation pour devenir prothésiste ongulaire doit être de qualité. Les cours théoriques ainsi que la pratique doivent être enseignés par des expert.e.s en embellissement d’ongles expérimenté.e.s et pédagogues. C’est pourquoi vous devez miser sur un centre de formation pour devenir prothésiste ongulaire de valeur sûre, comme RN Formation. Nos formateur.rice.s vous aident aussi à démarrer votre activité grâce à des conseils personnalisés, mais aussi à trouver vos premier.ère.s. client.e.s.
Les étapes pour lancer son activité de styliste ongulaire
Pour démarrer en tant que prothésiste ongulaire à votre compte, vous devez franchir un certain nombre d’étapes importantes, notamment pour la création de votre entreprise. Après avoir suivi la formation, il faut réaliser une étude de marché. Cette dernière permet de fixer des tarifs adaptés, de connaître vos concurrent.e.s, vos prospects, etc. La deuxième étape consiste à déterminer le budget pour l’achat de votre kit de démarrage pour devenir prothésiste ongulaire, le coût pour vous faire connaître ainsi que la rentabilité de votre projet (retour sur investissements, charges fixes/variables, etc.). Bien souvent, l.e.a prothésiste ongulaire choisit le statut d’auto-entreprise, mais elle peut tout aussi bien prendre une autre forme juridique, en fonction de son activité (ouverture d’un salon de beauté ou exercice à domicile).
Dans tous les cas, il faut prendre rendez-vous pour déclarer votre activité auprès de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat (CMA), étant donné que la prothésie ongulaire est un métier qui relève de l’artisanat. Ainsi, votre activité est enregistrée au Répertoire des métiers (RM). Si vous vendez des produits, une immatriculation au RCS (Registre national du commerce et des société) via la Chambre de Commerce et de l’Industrie (CCI) doit être effectuée.
Une fois ces inscriptions réalisées, vous obtenez votre numéro de SIRET (Système d’Identification de Répertoire des Établissements) et votre code APE (Activité Principale Exercée), qui est souvent le 9602B lorsqu’il s’agit de soin de beauté. C’est l’INSEE (Institut national de la statistique et des études économiques) qui attribue ces différents codes.
Une fois toutes ces étapes franchies, vous pouvez passer à l’étape suivante : la partie marketing et communication. Sachez que chez RN formation, vous avez la possibilité d’être guidé.e pour développer votre stratégie d’entreprise.